Cette réflexion est inspirée par le rapport du finlandais Esko Aho. Celui-ci démontre que les capital riskers n’investissent pas suffisamment dans la recherche par peur de ne pas voir les retombées financières.
En effet, c’est un mal européen, si nous sommes en pointe sur des domaines clés comme la médecine, l’automobile ou encore les nouvelles énergies, nous n’arrivons pas à tirer tous les bénéfices de ces recherches. La commission européenne a donc décider de faire de la recherche et de l’amélioration de son efficience une priorité.
Au contraire, les USA savent particulièrement bien utiliser les fonds privés et les structures publiques. A nous de nous en inspirer. C’est déjà en partie le cas avec les pôles de compétitivité mais les PME souffrent encore du manque de flexibilité de ces initiatives.
