jeudi 28 juillet 2011

[Cortix News] : l’émergence de la « consumérisation de l’IT » qui passe par les réseaux sociaux et le Cloud computing est vecteur de prospérité pour l

Cortix vous informe qu’une récente étude, sponsorisée par « CA Technologies » et conduite par IDC, révèle que le phénomène de « consumérisation de l’IT » s’impose largement aux directions informatiques par de nouveaux défis, mais aussi des opportunités. Ces opportunités sont créées par l'utilisation de nouveaux services de « Cloud Computing » pour le grand public et à partir de la productivité jusqu’à la prise de décision stratégique au niveau des entreprises.

En effet, les systèmes d’information d’entreprise semblent aujourd’hui à la croisée des chemins devant le pouvoir de transformation des technologies initialement popularisées dans le grand public et qui ne peuvent tout simplement plus être ignorées dans les environnements professionnels.

La consumérisation de l’IT procure des opportunités et soulève des enjeux majeurs d’administration et de sécurité

Une enquête réalisée pour les besoins de l’étude en question révèle que l’émergence des technologies grand public au sein des systèmes d’information d’entreprise est un phénomène parfois qualifié de « consumérisation de l’IT». Il présente de multiples opportunités au niveau des entreprises : gains de productivité, amélioration des interactions avec les clients, vitesse et agilité opérationnelles, qualité décisionnelle, etc. ; mais soulève également des challenges majeurs d’administration et de sécurité.

En France, les dirigeants informatiques ont une utilisation différente des outils de mobilité par rapport au reste du monde :

· 41 % des utilisateurs de « smartphones » l’utilisent notamment pour leur usage professionnel – contre 54 % dans le reste du monde (69 % des Français possèdent un smartphone, contre 80 % dans le reste du monde)

· En France, seules 12 % des personnes interrogées utilisent une tablette mobile, contre 36 % dans le reste du monde

· L’usage professionnel des tablettes en France n’atteint que 5 %, contre 23 % dans le reste du monde

L’utilisation des médias sociaux est différente en France :

· 28 % des personnes interrogées considèrent normal d’utiliser les médias sociaux en France, contre 52 % dans le reste du monde.

· Faible conviction dans la perspective de vente des produits et services sur des boutiques dédiées sur les médias sociaux : 18 % seulement en France pensent que c’est important, contre 48 % pour les autres pays !

Le « Cloud computing » entraîne des performances et des réductions de charge en entreprise

L'enquête révèle aussi les principaux avantages de la mise en place des services du Cloud computing au sein des entreprises :

- Le personnel informatique bénéficie de réduction des charges aux environs de 45 %.

- L’entreprise gagne du terrain en positionnement concurrentiel (aux environs de 36 %)

- la capacité à prendre en charge des pics de demande (36 %)

- les performances des applications globales (33 %)

mardi 26 juillet 2011

[Cortix News] PME : L’option du brevet européen semble bel et bien relancée grâce à la coopération renforcée !

Cortix vous parle ci-après du dossier de l’éventuel « brevet européen » destiné aux entreprises. En effet, c’est après dix années de discussions et de tergiversations que les entreprises vont enfin pouvoir espérer protéger leurs inventions avec le brevet européen.

Le but de l’instauration de ce « brevet européen » consisterait à protéger les inventions et la propriété intellectuelle à l’échelle européenne. Cette excellente opportunité apporterait certaines garanties, faciliterait les démarches administratives et réduirait les coûts pour les entreprises.

C’est une initiative qui devrait permettre, entre autres, aux entreprises, de ne plus effectuer une multitude de dépôts de brevet dans les 27 pays membres de l’Union Européenne.

L’opportunité d’une juridiction unique permettrait donc de statuer sur la validité du brevet et sur les affaires de litiges et de contrefaçon. Actuellement, l’adoption d’un régime linguistique valable ralentit un peu le dossier.

Recours à la coopération renforcée

Suite à la résistance de deux pays de la zone euro et vu qu'ils n'avaient pas réussi à trouver un accord, en novembre dernier, afin de créer un brevet européen, la France et d'autres pays ont décidé de recourir à la « coopération renforcée ». En effet, le 27 juin dernier, 25 pays de l’UE sur 27 ont adopté les modalités d’application du brevet.

La procédure de « coopération renforcée » a été rendue possible grâce au traité de Lisbonne qui permet à un minimum de neuf pays de faire avancer un projet malgré l'opposition de certains États. Un procédé qui n'a été utilisé qu'une fois pour une législation sur le divorce.

Notons enfin, qu’actuellement, les entreprises françaises bénéficient de taxes réduites au niveau du brevetage de leurs inventions.

lundi 18 juillet 2011

[Cortix News] : Les réseaux sociaux sont d’excellents accélérateurs pour le développement du business

Selon une étude réalisée par « Regus », premier fournisseur mondial d’espaces de travail flexibles, Cortix a relevé pour vous que, les entreprises françaises recourent de plus en plus aux médias sociaux pour développer leur activité et accroître leur clientèle.

Vu que les internautes consacrent une part toujours de plus en plus importante de leur temps libre à surfer sur les réseaux sociaux, « Regus », a réalisé une étude sur leur utilisation dans les entreprises. Le constat est sans appel : la proportion des entreprises françaises à séduire de nouveaux clients via les réseaux sociaux a augmenté de 10 points entre 2010 et 2011.

En 2011, plus de 40% des entreprises françaises ont attiré de nouveaux clients via les réseaux sociaux.

Au départ dévolu aux loisirs, le réseau social a été rapidement réapproprié par les entreprises afin de cibler un maximum de prospects. Il suffit de concevoir une « fan page » bien animée avec du contenu intelligent et de séduisantes promos. En effet, de plus en plus d’entreprises utilisent maintenant, aussi bien Facebook que des blogs et des forums afin de communiquer et développer leur business.

Les inscriptions sur les réseaux sociaux professionnels, des pratiques en net essor en France et dans le monde

52% des entreprises dans le monde et 41% en France utilisent des services en ligne tels que Twitter et Weibo pour établir un contact avec leurs clients, instaurer un dialogue et les tenir informés. Permettant de créer son réseau, gérer sa carrière et développer son business, les réseaux sociaux professionnels connaissent également un fort engouement : en France, 49% des entreprises encouragent leurs employés à s’inscrire sur des sites tels que LinkedIn, Xing et Viadeo, contre 53% à l’échelle mondiale.

Des budgets marketing encore variables et imprécis

64% des entreprises françaises et 66% des entreprises à l’échelle mondiale vouent actuellement une partie de leur budget marketing aux réseaux sociaux. Cependant, les disparités sont encore assez fortes. Ainsi, 52% des entreprises françaises allouent moins de 10% de leur budget marketing aux réseaux sociaux, et 35% d’entre elles plus de 20%.

Avec une bonne gestion du temps imparti aux réseaux sociaux, la communication peut être rentable. Le mois dernier. Veuillez noter que dans le blog Cortix développement, nous vous parlions, le mois dernier, du bon usage de Facebook pour votre entreprise : http://www.developpement-cortix.fr/index.php?2011/06/09/192--cortix-news-du-bon-usage-de-facebook-pour-votre-entreprise

[Cortix blogs] : Une actu riche et variée est à consulter, cette semaine, sur les blogs Cortix

Suite au dernier vote de l’ICANN qui a eu lieu au siège, à Singapour, Cortix revient pour vous, sur cet élargissement de l’éventail des « noms de domaine » pour les entreprises et vous apporte les explications nécessaires sur le blog Cortix PME. En effet, les perspectives de choix des « Noms de domaine » augmentent pour les entreprises qui cherchent à se distinguer au rythme de leurs enseignes ou des grandes marques qu’ils représentent.

Cette semaine, nous avons choisi de partager avec vous les résultats particulièrement intéressants du baromètre de la fevad que vous retrouverez sur le blog Cortix e-commerce. En effet, la Fevad (la Fédération du e-commerce et de la vente à distance) et Médiamétrie//NetRatings viennent de publier les résultats de la 7ème édition du Baromètre des comportements d’achats « multicanaux » des internautes qui met en valeur le fait que plus de 28 millions de Français achètent en ligne et que cette année, ils devraient dépenser plus de 35 milliards d’euros sur le web.

Sur le blog Cortix Développement, vous constaterez que le navigateur « Google Chrome » gagne du terrain et dépasse les 20% de parts de marché. En effet, se basant sur les résultats d’un baromètre réalisé par « Atcounter » qui a utilisé les statistiques de 3 millions de sites web, Cortix vous rapporte que « Google Chrome » s’installe désormais durablement dans le trio de tête des navigateurs Web les plus utilisés.

Le blog Cortix News, dans la rubrique jardin, revient contrairement aux idées reçues, sur l’été qui n’est pas la saison la plus propice aux travaux de jardin. L’arrosage est l’activité principale, mais attention, les autorités peuvent émettre des restrictions en cas de sécheresse : renseignez-vous auprès de votre mairie. L’arrosage du potager peut se faire en goutte-à-goutte : économique et écologique ! Des systèmes prêts à l’emploi sont vendus dans le commerce et sont particulièrement appréciés des jardiniers… et des légumes.

Et si ce n’est déjà fait, découvrez notre site Cortix et Vous : vous êtes client de Cortix ou vous souhaitez le devenir ? Vous vous posez des questions sur les prestations, le fonctionnement du site, le suivi de votre dossier... Nous répondons en direct à toutes vos questions sur notre forum.

En 2012 les « Noms de domaine » seront disponibles au rythme des enseignes et grandes marques

Suite au dernier vote de l’ICANN qui a eu lieu au siège, à Singapour, Cortix revient pour vous, sur cet élargissement de l’éventail des « noms de domaine » pour les entreprises. Les perspectives de choix des « Noms de domaine » augmentent pour les entreprises qui cherchent à se distinguer au rythme de leurs enseignes ou des grandes marques qu’ils représentent.

En effet, lors de la dernière réunion du 20 juin 2011 à Singapour, le conseil d'administration de l’ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), cet organisme international en charge de la gestion des noms de domaine, a autorisé la réservation de nouvelles extensions. En lieu et place des célèbres ".com", ".org" ou encore ".net", il vient d’opter pour la création de nouveaux noms de domaine qui peuvent reprendre un nom commercial ou le nom d’une marque au niveau des extensions, comme suit : .carrefour .nike ou .cortix.

Une offre qui inaugure une nouvelle ère de communication sur Internet

Suivant un récent communiqué, l’organisme en question explique que cette offre est réservée aux entreprises et aux titulaires de marques, ainsi qu'aux collectivités locales (municipalités, départements, régions…). Cette offre inaugure, selon les responsables de l'ICANN, une nouvelle ère de communication sur Internet. Dans quelques mois, nous verrons ainsi apparaître des ".ford", ".lvmh" et autres ".londres" sur les barres d'adresses de nos navigateurs.

Des extensions dont la réservation sera facturée à priori à 185 000 dollars pièce, en attendant les futures surenchères.

L’ouverture des dépôts de demandes de ces extensions, à partir du 12 janvier 2012.

Cette perspective sera effective à partir du 12 janvier 2012. En effet, les entreprises et les collectivités désireuses de se voir attribuer une extension pourront déposer un dossier, à partir de cette date, auprès des services de l'ICANN pour espérer voir les premières attributions d'extensions personnalisées intervenir à la fin de l’année 2012.

vendredi 8 juillet 2011

[Cortix News] : La déclinaison française du nouveau “Small business act” cible une aide pondérée des PME

À la lumière de la création d’un plan d’aide au développement aux PME via le « small business act » par le MEDEF, Cortix cherche à éclairer ses nombreux clients, à travers certains détails ainsi que les 16 propositions du MEDEF, sur les spécificités et les avantages de cette initiative.

C’est dans le cadre d’une déclinaison française que ce « small business act » européen verra le jour. Considérée comme une urgence pour le MEDEF et en accord avec les politiques sur l'idée que les PME sont le fer de lance de la création d'emploi, cette initiative devra tenir compte des 16 propositions de l’organisation patronale.

En effet, étant toujours moins favorisées que les grandes entreprises, quant aux niches fiscales adaptées, alors qu’elles sont vraiment dans le besoin, les PME trouvent des difficultés à bénéficier des mêmes avantages…Les TPE–PME sont toujours plus taxées que les grandes entreprises et ont une durée de vie, hélas pas très longue, qui leur permettrait de bénéficier de certaines mesures qui leur seraient favorables en cas de déficit… Il est donc impératif de rectifier le tir et d’adapter ces mesures. Par la voix de son président, Laurence Parisot, le MEDEF qui réclame de véritables avancées au niveau européen, annonce que les politiques apprécient énormément les actions des PME en faveur des emplois et de la croissance, mais qu’ils n’arrivent pas à trouver la bonne adéquation dans leurs prises de décision.

Des propositions qui apporteraient un peu d’oxygène aux PME (poumon de l’économie française).

Les propositions du MEDEF s'articulent autour de quatre axes : le financement, l'accès au marché public, la participation à la normalisation, la simplification administrative et la création de guichet unique au niveau des États.

Il faut permettre l’accès des marchés publics aux PME. Et c’est sur l'accès au financement que le MEDEF développe le plus grand nombre de propositions. Selon Laurence Parisot, "c'est une nécessité pour contrer l'effet négatif que va provoquer l'adoption des normes de Bâle III dans le monde bancaire." Les chefs d'entreprises craignent en effet une réduction de l'accès au crédit ou une augmentation de son coût compte tenu des nouveaux impératifs de fonds propres des banques.

Sur ces questions de financement, le MEDEF propose par exemple l'amélioration de l'accès au capital-risque en élargissant la définition de PME innovante aux innovations non technologiques ou la création d'un « small business act » boursier européen qui réduirait les obligations d'informations pour les valeurs petites et moyennes.

Mise en place d’un brevet unitaire européen ainsi qu’une aide indemnisant les PME non retenues des frais d'études engagées pour répondre à un appel d'offres.

L'organisation propose également de renforcer l'action de la BEI (Banque européenne d'investissement) en développant les opérations de garantie de prêts. Sur la question des marchés publics, toujours dans cette thématique, l'une des propositions vise à améliorer la protection des créations techniques, en mettant en place le brevet unitaire européen et en indemnisant les PME non retenues des frais d'études engagées pour répondre à un appel d'offres. Au-delà de ses 16 propositions, le MEDEF se livre ensuite à une sorte d'audit de l'action publique en faveur des PME.

L’intéressement fiscal, l’allègement des lourdeurs administratives et la création de guichets uniques sont les grands axes sur lesquels devrait se cristalliser l’édifice du « Small business act ». Ce sont en tout 16 propositions qui visent à mieux valoriser l’action publique en faveur des PME. Ces propositions apporteraient en effet un peu d’oxygène au « le poumon de l’économie française ».