vendredi 21 octobre 2011

[Cortix PME-News] : le baromètre de « Manageo » démontre que les femmes dirigeantes d’entreprises réussissent mieux que les hommes

En se basant sur les résultats d’une étude réalisée par « Manageo », Cortix vous informe que les TPE-PME dirigées par des femmes rencontrent trois fois moins de défaillances, tout en faisant remarquer que la proportion de femmes à la tête des TPE-PME ne représente actuellement que 27%.

En effet, ce baromètre dévoile que les femmes-chefs d’entreprises ne représentent que 21,9 % des ouvertures de procédures collectives, voire les liquidations judiciaires et les redressements judiciaires. De leur côté, les hommes patrons d’entreprises occasionnent 78,1 % des ouvertures de procédures.

Les salons de coiffure et les professions de santé représentent les secteurs d’activités privilégiés des femmes

Parmi les autres enseignements tirés de ce baromètre, 50 % des salons de coiffure et des professions de santé sont bel et bien dirigés par des femmes. Parmi les autres secteurs d'activité plébiscités par les femmes en France, nous retrouvons l'agriculture, dont la culture céréalière, l'élevage et la vigne.

vendredi 14 octobre 2011

[Cortix - PME] : « FIDUCIAL » parle d’une timide reprise de l’emploi. Les emplois temporaires ou à durée limitée sont les plus touchés

Se basant sur les chiffres du 43ème baromètre trimestriel des TPE, réalisé par l’IFOP pour FIDUCIAL, Cortix vous révèle que la création de l’emploi est en berne et marque un temps d’arrêt dans la légère reprise de l’activité. C’est avec un moral au plus bas et une trésorerie défaillante que les responsables des petites entreprises n’ont réussi à créer, au deuxième trimestre 2011, que 12% d’emplois.

En effet, alors que 30% des TPE appréhendaient des problèmes de trésorerie suite à une aggravation de leur situation, les résultats du 2ème trimestre 2011 ont confirmé relativement les prévisions des patrons de TPE dont les espoirs reposaient sur le léger regain d'optimisme du mois d'avril dernier. Le nombre des TPE jugeant leur situation préoccupante continue quand même à diminuer.

Optimisme relatif pour certaines TPE

30% de ces TPE ont réussi à garder un optimisme relatif, malgré une baisse de 5 points par rapport au premier trimestre. Il est à noter aussi que 54% des entreprises composant cette niche ont affiché un optimisme particulier et spécifique pour leur propre projet d’entreprise.

Il y a de moins en moins de demandes de financement alors que 20 % des TPE ont constaté un durcissement des conditions

Le durcissement des conditions d’octroi des crédits doit toutefois être relativisé, car le volume de demandes de financement a aussi fortement baissé (23 %, contre 33 % au 1er trimestre 2011). Il reconnaître aussi que 27 % de ces demandes se heurtent encore à une fin de non-recevoir.

L'emploi arrive, tout de même, à se maintenir momentanément grâce au travail précaire !

Parmi les 12% d’emplois créés par les TPE, et plus particulièrement dans les secteurs du bâtiment, de l’hôtellerie et de la restauration, ce sont les CDI qui dépassent les CDD. Et il faut reconnaître que ce sont les emplois temporaires (ou à durée limitée) qui sont les plus touchés par les restrictions d’embauche.

jeudi 13 octobre 2011

[Cortix PME] : La législation accorde de véritables avantages aux entreprises qui s’adonnent au « mécénat !

Cortix apporte ci-après un éclairage sur le « mécénat » pour les TPE et PME, un phénomène en pleine expansion grâce à la législation en vigueur, qui le facilite et l’avantage, désormais pour les entreprises.

Doté d’une excellente réputation au niveau de la communication, le mécénat est une opportunité à saisir pour affirmer l'identité profonde de sa société (et ceci, en dehors du soutien matériel apporté, sans contrepartie directe, à certaines associations, œuvres humanitaires et manifestations culturelles).

Réduction d'impôt, amortissement et déductibilité sont les 3 points clés incitateurs au mécénat

La France vient de se doter d'un système juridique et fiscal incitatif, en matière de mécénat. La Réduction d'impôt, l’amortissement et la déductibilité en sont les trois points clés incitateurs au mécénat

D’après une enquête réalisée conjointement par Admical & CSA, une entreprise sur cinq fait du mécénat. Plus de la moitié de ces mécènes sont des PME. La solidarité et la culture arrivent en tête des domaines soutenus en priorité.

Tendances

Étant l’un des axes les plus forts de notre rayonnement en France, l’offre culturelle a été l’un des domaines privilégiés du développement du mécénat parce qu’il ne s’agit pas seulement d’améliorer l’image des TPE et PME, mais aussi de travailler à la qualité même de leur identité et de leur interaction avec leur environnement.

Suite au tsunami de la fin de l'année 2004, la solidarité est en nette progression selon le constat de Jacques Rigaud, président d'Admical : « Bien que peu spectaculaire, le mécénat de solidarité est en hausse : il dépasse cette année le mécénat culturel ».

Le mécénat sportif prend aujourd'hui, toute sa dimension

« La recherche et le sport commencent à prendre de l'importance », a relevé Jacques Rigaud. La création des fondations de recherche, impulsée par le ministère de la Recherche, aura certainement stimulé l'intérêt des entreprises. Par ailleurs, il est à noter aussi la mise en place d’opérations de « mécénat croisé », qui associent des actions sportives et solidaires. Car le sport sert de véritable vecteur d'insertion et d'éducation. « Auparavant inclus dans la catégorie solidarité, le mécénat sportif prend aujourd'hui toute sa dimension », a ajouté Jacques Rigaud.

Des fiches thématiques ont été conçues comme un véritable outil d’accompagnement des TPE et PME

L’Assemblée française des chambres de commerce et d’industrie ainsi que le ministère de la Culture se sont constitués en groupe de travail afin d’établir des fiches thématiques (sous forme de kit d’utilisation pratique) qui permettent de définir par thème (ou projet) les avantages fiscaux, et les formalités nécessaires…

lundi 10 octobre 2011

[Cortix News] cyberattaques : la consumérisation de l'IT, les réseaux sociaux et l’informatique mobile constituent une réelle menace

Cortix vous rapporte, selon une enquête réalisée par Symantec, fournisseur de solutions de sécurité informatique, auprès de 3300 entreprises dans 36 pays, dont la France, que 71% de ces entreprises ont fait face à une cyberattaque ces 12 derniers mois.

Force est de signaler que « 71% » est un chiffre toujours élevé malgré la tendance à la baisse constatée par rapport à 2010.

2011 : malgré une légère baisse de 4%, 71% des entreprises sont victimes de cyberattaques

En effet, dans le cadre de son état des lieux annuel sur la sécurité informatique », Symantec signale que les préjudices consécutifs à ces attaques (qui affectent toujours une grande majorité des entreprises), sont en baisse de 4% par rapport à l'an dernier.

Conscientes des dangers inhérents au cyberespace, les TPE et PME, adoptent de plus en plus les bonnes mesures pour s’en protéger.

Au niveau des dégâts, liés à celles-ci, qui sont également en légère baisse : 100% des entreprises avaient annoncé en 2010 avoir subi des pertes de données informatiques, alors qu’en 2011, elles ne sont plus que 92%.

· 39% des entreprises françaises accordent une plus grande importance à la cybersécurité par rapport à l’année dernière.

· 16% des entreprises accordent en 2011, encore moins d'importance à ce fléau,

Les tendances vers la consumérisation croissante de l'informatique constituent une menace

À cause des nouvelles tendances de l’influence croissante de l'informatique, 43% des entreprises françaises interrogées pensent que les principales menaces sont liées à l'utilisation des réseaux sociaux tandis que 42 %, de ces mêmes entreprises sollicitées, ciblent la mobilité et l'informatique mobile.

mardi 4 octobre 2011

[Cortix News] : TPE, PME et entreprises du CAC 40, sont-elles toutes logées à la même enseigne et à l’abri de la crise ?

Cortix vous prodigue ses conseils afin de surmonter les obstacles économiques du moment en attendant une réelle sortie de crise. .Elle vous explique que si les banques françaises ont enregistré de bons résultats en 2010, le tableau n’est pas si idyllique pour 2011 et d’une manière équivalente pour l’ensemble des entreprises économiques françaises. En effet, avec leurs 46 milliards d’euros de bénéfices, les 40 plus grosses entreprises françaises devraient passer confortablement le cap de cette fin d’année et dégager dans les 94 milliards d’euros de profit (soit 9% de plus qu’en 2010), tandis que du côté des PME et des TPE, la sortie de crise est loin d’être évidente.

Il faut reconnaître aussi que certaines grandes entreprises se sont retrouvées en difficulté à cause des rumeurs liées à la crise en même temps que l’ensemble des TPE et PME.

D’après les déclarations du PDG d’une importante entreprise, il apparaît que parmi les conséquences à redouter à courte échéance, et qu’il faut envisager une baisse au niveau de la crédibilité de ces entreprises puisque les banques d’affaires demeurent méfiantes par rapport à la crise et ne se prêtent plus d’argent entre elles d’où la baisse automatique du niveau des crédits accordés aux entreprises.

Des prérogatives draconiennes afin de sortir la tête hors de l’eau en cette période de crise

Parmi les principales recommandations à prendre en compte afin de sortir la tête de l’eau en cette période de crise, il faut se garantir une certaine indépendance financière, même si ce n’est pas évident. Parmi les solutions, il faut opter pour des prérogatives draconiennes :

· Il faut bien maîtriser la gestion de la trésorerie de l’entreprise de telle sorte qu’elle ne soit ni le talon d’Achille de la direction ni une corvée à redouter.

· La disponibilité des liquidités est très importante, pour cela, il faut bien gérer les créances des clients en mettant l’accent sur un recouvrement en bonne cohérence avec les échéances des créances de l’entreprise.

· Avec ses clients et ses prospects, il faut exiger, dès le départ, des garanties en mettant en avant les impératifs du bon fonctionnement de votre entreprise en ce temps de crise tout en espérant, une reprise rapide de l’activité dès 2012.