vendredi 29 avril 2011

[Cortix News] : Relance de la croissance et consolidation des droits des citoyens, au coeur de la rénovation du « marché unique européen »

Malgré l’importance du marché unique européen, composé de plus de 22 millions d'entreprises et qui rassemble plus 500 millions de consommateurs, l’Europe semble être dans une phase de réserve devant la mondialisation au lieu d’être une véritable actrice. Cortix revient sur le sujet, suite à l’intervention de Michel Barnier, commissaire au Marché intérieur, qui explique les impératifs de la mise en place d’une douzaine de mesures qui doivent relancer la croissance.

En résumé, l’Europe doit consolider sa productivité à l’intérieur du marché européen qui fonctionne bien (et dont les règles de jeu sont claires) et s’y appuyer pour faire face à la mondialisation. D'ailleurs, 60 % des produits exportés par la France, l'Allemagne ou encore le Royaume-Uni, le sont à l'intérieur de l'Union

Consolider afin de rebondir sur le « marché unique européen » qui est notre principal atout, en mettant en place des gisements supplémentaires de croissance

Afin d’innover et de relancer le « marché unique européen », considéré aujourd’hui comme le principal élément de la croissance économique européenne, la Commission européenne vient d’élaborer un programme de travail visant la détermination de nouvelles marges de croissance qui s’articuleront autour de la douzaine de mesures à mettre en place à l’échéance de 2012.

Il est impératif d’encourager et laisser quiconque travailler, consommer et investir partout en Europe

Cortix a noté que la tendance de certaines entreprises, étant de l’ordre de 20% à vouloir travailler à l’étranger et que les Européens ne peuvent pas justifier (au sein du marché unique) de leurs qualités professionnelles ou de leurs diplômes en dehors de leur pays. Il apparaît aussi que faire appel à des services d’organismes étrangers n’est pas du goût des consommateurs européens qui appréhendent les complications notamment en termes de finance et d’assurance.

Pour le FMI, l’Europe est classée parmi les zones de faible activité.

Le FMI (Fonds monétaire international) range l’Europe dans les zones de faible activité. Ses prévisions, en terme de croissance, de la zone euro serait de 1,6 % en 2011 et de 1,8 % en 2012 alors que celui des États-Unis serait de 2,8 % en 2011 et de 2,9 % en 2012.

Le « marché unique européen » pourrait nous offrir : 2 à 4% de croissance supplémentaire

C’est sur le thème d’une rénovation déjà en marche que Michel Barnier a présenté le projet législatif final afin de mettre en œuvre un brevet européen unique :

« C’est aux acteurs du marché unique de profiter pleinement des opportunités qu'il offre. On estime qu'il y a plus de 2 %, certains pensent jusqu'à 4 % de croissance supplémentaire à attendre d'une plus grande intégration du marché unique. Comme la relance de ce marché passe par de nombreuses mesures pour créer un environnement réglementaire, financier et juridique qui débloque les initiatives, cela peut ressembler à une liste à la « Prévert ». Mais à Bruxelles, nous cherchons à construire une plate-forme solide. Aux acteurs politiques et économiques de s'en emparer" a déclaré le 13 avril 2011, Michel Barnier, commissaire européen au marché intérieur, dans une interview accordée aux “Echos”

CE : Vers une reconnaissance des diplômes entre Etats membres et pour certains métiers. Voire même la mise en œuvre d’une « carte professionnelle européenne ».

Plusieurs projets sont donc à l‘honneur : dont la reprise de la lutte contre la contrefaçon, l’harmonisation de l'assiette fiscale de l'impôt sur les sociétés, le plan énergie (avec une interconnexion plus importante des réseaux), une meilleure identification et reconnaissance des diplômes entre Etats membres, et pour certains métiers, la mise en œuvre d’une « carte professionnelle européenne.

Pour aider l’accès au financement des PME, il a été prévu de créer un statut commun des fonds de capital-risque ainsi que la mise en œuvre d’un système européen de résolution des conflits en ligne, afin de défendre l’e-commerce.

mercredi 27 avril 2011

[Cortix News] : Selon les Dirigeants de l’économie : l‘e-commerce français se maintient à un très haut niveau de progression

D’après les résultats d’une étude menée par l’ACSEL et l’IFOP et élaboré avec le concours de « PriceWaterhouseCooper », les responsables de l’économie numérique, estiment que les enjeux actuels pour les entreprises des différents métiers se maintiennent à un haut niveau de progression. Cortix vous donne un aperçu de l'essor d'une telle économie, relevé par ce qui est considéré comme le baromètre officiel du e-commerce.

Avec une augmentation de +28% en une année et un total de 94,6 millions de transactions, les e-commerçants français ont réalisé, en chiffre d’affaires : 8,27 milliards d’euros au quatrième trimestre 2010, soit une progression de +25% par rapport au quatrième trimestre 2009.

Sur l’année 2010, le CA avait atteint 28,80 milliards d’euros soit une progression de 28% par rapport au CA cumulé de 22,49 milliards d’euros en 2009 (et +31% en 2009 par rapport à 2008).

« Au niveau de leurs recherches de financements, les difficultés pour les entreprises» s’illustrent comme « constat prédominant » dans les résultats de cette étude. Les entreprises interrogées qui cherchent à développer leur activité et réaliser leurs projets on été classées comme suit :

· 38% d'entre elles cherchent à avancer grâce à des investisseurs,

· Et 81% peinent réellement dans leur recherche de fonds.

Pour l'année 2011 :

· 65% envisagent de se trouver vers des investisseurs privés,

· Alors que 31% visent les banques

· et uniquement 5% qui visent la bourse.

Confiance et optimisme… l’e-commerce est un véritable secteur générateur de croissance.

Malgré certaines difficultés, Cortix vous confirme que les acteurs économiques concernés par ce secteur d’activité demeurent confiants quant aux perspectives prévisionnelles. 94% des dirigeants restent optimistes quant à cet avenir.

« L’e-commerce confirme sa position de locomotive de l’économie française, tant par la croissance de ses volumes que par la vigueur de ses créations d’entreprises, que nombre de pays européens nous envient ! », a déclaré Pierre Kosciusko-Morizet, président de l’ACSEL.

Suite aux constats mentionnés ci-après, de nouveaux recrutements accompagnés d’une certaine mobilité sont programmées par les PME :

· 88% des entreprises ont vu leurs CA augmenter, ces six derniers mois.

· et 90% ont noté une augmentation de leurs porte-feuille clients.

mardi 26 avril 2011

[Cortix News] : Contours du projet de simplification qui vise à réduire les démarches administratives des entreprises

Cortix vous informe que conformément à l’impulsion gouvernementale, plus de 700 propositions d’amélioration ont été recueillies sur le terrain auprès des entrepreneurs et dirigeants de TPE-PME-ETI pour préparer les assises nationales de la simplification des démarches administratives, programmée pour le 29 avril 2011.

En attendant, la tenue de ces assises nationales organisées au Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie sous la présidence de Frédéric LEFEBVRE, ces propositions de Simplification ont déjà été débattues entre entrepreneurs, administrations, réseaux consulaires et fédérations professionnelles, au cours d’Assises régionales dans chacune des 22 régions françaises.

Une opération qui donnera le coup d’envoi à un plan de simplifications et de réduction de la complexité des démarches administratives pour les PME, les artisans, les commerçants et les professions libérales. Un plan qui devra être opérationnel dès l’été 2011.

Fiscalité et état des lieux

Selon Etienne Bernard, les PME devront dresser un état des lieux de leur fiscalité. En effet, la procédure de « Rescrit fiscal » permet au contribuable de demander à l'administration de prendre formellement (au regard d'un texte fiscal) position sur sa situation de fait. Le MEDEF recommande une réduction des délais pour les deux parties afin d’éviter les contentieux.

Des mesures pour « travailler mieux »

Cortix a remarqué aussi que le MEDEF vient de constater que les PME manquaient de maîtrises dans l’application des différentes réglementations techniques en matière de sécurité et de santé au travail. Les formalités d’inaptitude ou de reprise de leurs emplois pour certains salariés doivent être simplifiées. Sur le site « Travailler mieux », il faut dédier un espace plus clair et plus convivial devrait voir le jour en faveur des TPE et des PME. Etc.

vendredi 15 avril 2011

[Cortix News] : actions proactives et maîtrise des coûts des pertes de données (en nette augmentation en 2010).

Cortix a relevé, selon un rapport commandé par la société de sécurité Symantec et l’étude « Cost of a Data Breach » de l'Institut Ponemon, que les pertes ou les vols de données informatiques ont coûté en moyenne 16% de plus aux entreprises françaises en 2010 (par rapport à 2009), en dépassant la barre des 2,2 millions d’euros, les cas les plus fréquents étant imputables à des tiers, souvent des sous-traitants.

Pour la réalisation de cette étude, Symantec et Ponemon se sont penchés sur le cas de 21 entreprises françaises, appartenant à 11 secteurs d'activité différents, qui ont déclaré avoir perdu jusqu'à 72.000 données informatiques.

De plus en plus d’actes de malveillance et moins de pertes de données par négligence

"Ces brèches constatées ont représenté un coût moyen par entreprise de 2,2 millions d'euros", a précisé M. Heslault, directeur des technologies de sécurité chez Symantec. Ce "coût" englobe aussi bien les dépenses en termes de détection des incidents, des mesures prises a posteriori, et l'impact par exemple en termes de clients perdus.

Les erreurs de tiers (principalement celles de sous-traitants) figurent en bonnes places dans les pertes des données les plus fréquentes (soit 43%).

Tandis que les actes de malveillance sont en hausse de 3% sur un an (soit 38% au total). Ce sont éventuellement des "attaques" provenant de l'extérieur ou de la part de ce qu'on appelle des ex-salariés licenciés qui partent (par exemple) avec le fichier clients. Certaines fuites de données sensibles proviennent aussi de la perte ou du vol d'ordinateurs ou de téléphones portables.

"Ce qui en revanche va dans le bon sens en France, et qui est à contre-courant par rapport aux Etats-Unis, sont les pertes de données liées à la négligence, qui ont tendance à baisser et qui sont passées de 35 à 29% sur un an", a aussi indiqué Laurent Heslault.

Le coût moyen d’une donnée perdue a été évalué à 98€.

Evaluer, sensibiliser et faire évoluer les technologies de prévention

Cortix vous fait remarquer aussi que suite à une prise de conscience générale, il y a une évolution dans les types de moyens de prévention utilisés, avec essentiellement plus d'investissements dans la technologie. Afin que les entreprises françaises puissent être en mesure de mieux se préserver des risques potentiels et réagir rapidement lors d’un incident, il est recommandé de prendre les dispositions suivantes :
1. Evaluer les risques et identifier les données confidentielles
2. Sensibiliser, éduquer et responsabiliser le personnel quant à la protection des données
3. Déployer des technologies de prévention avec l’application des règles de sécurité
4. Chiffrer proactivement les ordinateurs portables pour réduire les impacts de leur perte
5. Intégrer la protection des données aux processus métier.

jeudi 7 avril 2011

[Cortix conseils] : Les perspectives internationales des PME et TPE définies par « Baromètre Institut Sage 2011 »

3ème éditeur mondial de logiciels de gestion, le groupe Sage, a lancé « The Sage Business Index – International Small Business Insights », un baromètre international du niveau de confiance, des préoccupations et des enjeux des PME et TPE nord-américaines et européennes. Cortix vous fait découvrir qu’au travers de cette étude, qu’en France, les PME et TPE se révèlent plutôt optimistes pour l’économie nationale et affichent leur volonté de se moderniser.

Cette étude a été effectuée sur les réponses de 6 455 entreprises, sur une période de deux mois, entre novembre et décembre 2010, au Royaume-Uni, en Allemagne, en France, au Canada et aux Etats-Unis. L’étude établit que 53 % des entreprises (PME & TPE) sont plus confiantes quant aux perspectives d’activité pour l’année à venir par rapport à l’année écoulée.

55 % des petites entreprises allemandes se déclarent plus confiantes, d’entre contre 37 % en France. Au Royaume-Uni, seules 34 % des entreprises sont ce cas. C’est donc le score le plus faible dans les cinq pays étudiés.

Emploi : Les perspectives de recrutement sont plutôt positives.

En ce qui concerne les perspectives de reprise économique, les petites et moyennes entreprises se montrent relativement optimistes, elles considèrent que l’économie de leur pays connaît actuellement une légère voire une nette amélioration. Les entreprises françaises s’inscrivent dans cette tendance : en ce qui concerne l'économie mondiale, 36 % d’entre elles estiment qu’elle est en train de se rétablir légèrement ; en ce qui concerne l'économie française, 39 % ont le sentiment qu’elle est en train de se relever ou disent constater au moins une légère amélioration. Les entreprises américaines et canadiennes croient moins dans la reprise économique mondiale que dans celle de leur propre pays.

Sur le front de l’emploi, les entreprises allemandes et françaises interrogées sont beaucoup plus nombreuses à envisager des recrutements plutôt que des réductions d’effectifs. Dans les autres pays, les prévisions de diminution et d’augmentation de personnel s’équilibrent.

Malgré une bonne culture d'entreprise et un esprit d'entrepreneuriat, des freins existent

Les entreprises sont unanimes concernant ce qui les freine dans leurs activités : quel que soit le pays, les lourdeurs administratives et la législation sont citées en premier. 67 % des entreprises françaises y voient le principal point faible de notre pays, suivie par l'accès au capital et aux financements (37 %). Près de la moitié d’entre elles (47 %) pensent néanmoins que le pays offre une bonne culture d'entreprise et un esprit d'entrepreneuriat. 42 % voient les grands marchés nationaux comme la qualité la plus importante du pays en tant que lieu d'échanges commerciaux, et 23% le soutien des pouvoirs publics comme un atout.

Le High-tech aura un rôle important à jouer en 2011 auprès des PME ET TPE du monde entier

Cortix a relevé que pour l’année 2011, 36 % prévoient de lancer des offres innovantes, contre 42 % au Royaume-Uni, alors que 50 % des entreprises françaises doivent diminuer leurs charges.
En France, 62 % des entreprises interrogées prévoient une augmentation de leur utilisation d'Internet et des logiciels en lignes en 2011, principalement à des fins de gestion de la relation client, de ventes et de marketing. Concernant les technologies mobiles, 48 % des entreprises françaises envisagent d’y recourir en 2011, ce qui les place devant l’Angleterre, l’Allemagne, l’Amérique du Nord et le Canada.

[Cortix news] Guichet unique de la création d’Entreprises : un nouvel élan basé sur le service en ligne français

A travers cet article, Cortix met l’accent sur les potentialités du nouveau service en ligne créé afin de répondre aux besoins des créateurs d’entreprises. C’est à l'initiative du Gouvernement Français et dans le cadre de la directive communautaire européenne relative aux Services, que « Guichet Entreprises » a été mis en place pour faciliter au maximum la création d'entreprise en France. Sa missions première: offrir à tout entrepreneur une information riche et un guichet unique d’accomplissement des formalités de création de société.

Frédéric Lefebvre ainsi que les différents partenaires de l’Etat impliqués par l’aide à apporter aux PME ont paraphé la convention pour ce guichet unique pour la création d’entreprise. Ce service se distingue pratiquement sous la forme « d’un groupement d’intérêt public (GIP) » et repose sur les 5 réseaux français de Centres de Formalités d’Entreprises (CFE) : Les Chambres de Commerce et d'Industrie (CCI), Les URSSAF, Les Chambres de Métiers et de l'Artisanat (CMA) etc.

Actuellement et en fonction de l’activité à exercer, toutes les pièces à fournir sont précisées à travers une interface personnalisée

En s’inscrivant dans le cadre d’une politique générale, cet outil a notamment simplifier sur le plan administratif les démarches des entrepreneurs et celles des institutions. Selon le gouvernement, un entrepreneur sur cinq devrait utiliser ce guichet unique d’ici début 2012.

Cortix rappelle aussi que depuis le 1er janvier 2010, ce portail « Guichet Entreprises » est fonctionnel en phase de test. En se connectant sur le site en question, il est possible d’obtenir rapidement des informations sur les différentes étapes d’un dépôt de dossier. En fonction de l’activité à exercer, toutes les pièces à fournir sont précisées à travers une interface personnalisée. La demande d’autorisation peut aussi être facilement effectuée en ligne. Les futurs entrepreneurs peuvent suivre pas à pas l’avancement de leur dossier.

[Cortix News] : Evolution et impact de la crise sur les TPE et les PME

Se basant sur le dernier baromètre édité par TNS-SOFRES, Cortix présente ci-après les différentes évolutions économiques des TPE et des PME. En effet, si les effets négatifs de la dernière crise économique et financière mondiale commencent à être dépassés pour les PME, leurs impacts ont été ressentis différemment sur ces deux structures et a modifié leurs perspectives pour 2011.

L’optimisme étant de mise depuis fin 2008, la situation des PME semble s’être nettement améliorée. Seules 12% des PME ressentaient une sensible amélioration entre la période néfaste de la crise et fin décembre 2008. Depuis, cette proportion de PME a graduellement et sensiblement augmenté jusqu’à atteindre aujourd’hui les 46%.
A l’inverse, à fin 2008, sur les 88% des PME restants, 51% d’entre eux trouvaient que l’évolution ressentie n’était pas aussi bonne, qu’une année plus tôt. Une proportion (51%) qui a, par contre, diminué jusqu’à atteindre 20% aujourd’hui, deux ans après.

Ces entreprises ne comptent plus comme auparavant sur l’attractivité de leurs secteurs d’activité. Actuellement, l’attente d’une bonne tendance vers des perspectives évolutives, hante 67% des responsables des PME, alors qu’elle concernant 48% d’entre eux en 2008.
Par contre, les TPE sont plus réservés quant à une évolution positive durant l’année en cours. Très prudents, seules 15% d’entre eux y croient sérieusement.

Actuellement, la trésorerie et les perspectives de ventes semblent convenir aussi bien aux TPE qu’aux PME mais la rentabilité est plutôt favorable aux PME (58%) qu’aux TPE (50%).
N’en demeure pas moins qu’une certaine appréhension demeure pour les dirigeants des deux catégories d’entreprises (TPE et PME) par rapport à une baisse prévisible d’environ 23% des Chiffres d’affaires et de 25% de la trésorerie sur les trois mois à venir.

Afin de freiner ces perspectives, Cortix vous fait remarquer que les PME comptent effectuer des embauches sur les trois prochains mois afin de renforcer leurs forces de vente tandis que les TPE demeurent moins offensives sur ce terrain-là : La proportion de PME envisageant des embaucher a triplé depuis le début de la crise, alors que les TPE prévoient presque toutes une stabilité de leurs effectifs. Les perspectives d’embauche sont de l’ordre de 6% pour les TPE avec salariés et de 12% pour les TPE sans salariés.