mardi 20 mars 2012

[Cortix Veille] : Clarté de vision et évolution du Cloud Computing en entreprise !

La révolution que semble entreprendre le « Cloud Computing » en entreprise a retenu l’attention de Cortix qui revient pour vous, sur les nombreuses interrogations que se posent les chefs d’entreprises avant d’adopter cette technologie. Le « Cloud Computing » a figuré parmi les plus grandes tendances de l’année 2011. Il symbolise la virtualisation et le stockage des données sur des sites distants tels que les « Data Centers »..

L’étude menée par « Acronis » qui met l’accent sur cette tendance d’adoption de cette nouvelle forme de stockage de données à distance, met en exergue le fait que le « Cloud Computing » joue sur du velours dans les PME plutôt que dans les grandes entreprises.

Les services "inside-out" et "outside-in" suscitent l’amalgame

L'amalgame constaté entre les approches complètement différentes des services de « Cloud Computing » : "inside-out" et "outside-in", associé au tapage marketing, a suscité la prudence quant à la façon d'aborder le « Cloud Computing » et à la mise en œuvre pratique au travers de projets concrets, aussi bien dans le secteur privé que dans le public.

L'approche "inside-out" est généralement adoptée par les responsables informatiques, qui considèrent le Cloud Computing comme une évolution des technologies au sein de l'entreprise. En revanche, l'approche "outside-in" est adoptée par les responsables commerciaux, qui considèrent le Cloud Computing comme une technologie révolutionnaire, offrant à l'entreprise de nouvelles opportunités en terme de prestations de service et d'opportunités commerciales.

L’efficacité, au niveau de la sauvegarde ainsi que la réduction des coûts, semble intéresser les PME

Malgré les résultats de cette étude qui montrent que les entreprises, en général, ont ralenti le processus de virtualisation de leurs données par rapport aux prévisions 2010. Cortix a relevé que les courbes d’évolutions se présentent comme suit :

· En 2011, la virtualisation a été en hausse de l’ordre de 21% chez les PME tandis qu’elle n’était que de 14% dans les grandes entreprises.

· 89% des PME américaines affirment, aujourd’hui, avoir eu recours à cette virtualisation pour au moins une partie de leurs données.

L’amélioration de l’efficacité au niveau de la sauvegarde et la réduction des coûts semble avoir provoqué cette évolution progressive au niveau des PME.

[Cortix Veille] Cotisations sociales : La loi de financement de la sécurité sociale instaure de nouvelles mesures en 2012

Au niveau des Cotisations sociales, Cortix revient sur les changements instaurés par la loi de financement de la Sécurité Sociale pour les PME et TPE. En effet, ces nouvelles mesures impactent en premier lieu, l’élaboration des fiches de paie des salariés.

Le taux de contribution à la charge des employeurs passe de 6 à 8%.

Le taux du forfait social passe de 6 à 8 %, mais rappelons auparavant que la contribution à la charge des employeurs se calcule, sauf exception, sur les éléments de rémunération qui sont exonérés de cotisations de Sécurité sociale tout en étant assujettis à la CSG et la CRDS. Cette taxe s’applique dorénavant pour les charges patronales qui finançant un régime de prévoyance. Afin de contrebalancer cette augmentation, la taxe de prévoyance de 8 % est supprimée. Un point à prendre en compte lors de l’élaboration, sur le plan comptable, des bulletins de paie.

Le calcul de la CSG et la CRDS se fera sur 98,25% des rémunérations

Un abattement a été instauré sur les frais professionnels des salariés. Ce taux passe donc de 3 à 1,75 % et apparaît au niveau de l’assiette de la CSG – CRDS. En effet, la CSG et la CRDS sont donc calculées sur 98,25 % des montants des rémunérations.

Mais il faudra tenir compte du fait que tous les éléments ne bénéficient pas de cet abattement : l’intéressement, la participation, la contribution patronale de prévoyance, les cotisations sur les chèques vacances, ou encore les indemnités de ruptures sont notamment concernés.

Les cotisations sociales sur les indemnités de rupture évoluent.

En effet, à partir du 1er janvier 2013, même si le régime fiscal des indemnités versées pour toute rupture de contrat de travail n’est pas modifié, les mesures en matière de cotisations de Sécurité sociale évoluent :

· Pour les licenciements notifiés à partir du 1er janvier 2013, la limite d’exonération des cotisations de Sécurité sociale sera désormais égale à deux plafonds de la Sécurité sociale (soit 72 744 euros pour 2012), et non plus trois.

· En outre, le calcul de l’assiette de la CSG – CRDS peut se faire sans abattement si un régime transitoire a cependant été instauré, avec maintien de l’exonération à hauteur de trois plafonds de Sécurité sociale. Cela concerne le cas des indemnités versées en 2012 pour une rupture notifiée au plus tard au 31 décembre 2011 et même en cas de « Plan de Sauvegarde de l'Emploi » (si le projet avait été communiqué aux représentants du personnel avant cette date).

Les exonérations « Fillon » ne sont pas en reste, mais…

· En ce qui concerne les exonérations sociales sur les heures supplémentaires et complémentaires, les cotisations patronales seront moins exonérées.

Accélération du délai de relèvement de l’âge de départ à la retraite

· La loi de réforme des retraites de 2010 avait fait passer l’âge légal de départ à la retraite de 60 à 62 ans, avec un calendrier progressif pour y arriver d’ici 2018. La nouvelle loi accélère ce passage pour être effective en 2017. L’âge du taux plein subira la même évolution.

Pour plus de détails, il est possible d’utiliser le lien suivant : http://www.vie-publique.fr/actualite/panorama/texte-discussion/projet-loi-financement-securite-sociale-plfss-pour-2012.html

lundi 13 février 2012

moins coûteuse, l’EIRL (Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée) n’est plus assimilable automatiquement à l’EURL

Cortix revient sur les particularités de L’EIRL (Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée) et encourage les entrepreneurs individuels à changer de statut en faveur du régime de l’EIRL afin de bénéficier de ses avantages.

La loi de finances rectificative du 29 juillet 2011 est intervenue positivement en faveur des entrepreneurs individuels qui désirent opter pour le statut d’entrepreneur individuel à responsabilité limitée. Cette mutation ne verrait plus l’EIRL assimilable automatiquement à l’EURL et serait moins coûteuse vu qu’elle est désormais exonérée de certaines taxations fiscales.

En effet, dans un premier temps et sur le plan fiscal, l'EIRL (entreprise individuelle à responsabilité limitée) relevait d'un régime réel d'imposition. Elle était jusqu'alors systématiquement assimilée à l'EURL (entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée). Cette transformation possible, à partir d’une entreprise individuelle vers une EIRL entraînait les conséquences fiscales d'une cessation d'activité parmi lesquelles l'imposition des plus-values sur les éléments d'actif apportés (même si toutefois, ces conséquences fiscales ne EIRL soumise au régime forfaitaire d'imposition.

l'EIRL surferait entre le régime réel d'imposition et le régime forfaitaire tandis que les biens personnels et le patrimoine de l’entreprise seraient bien distincts

Parmi les nouveautés, il est à constater que le législateur vient de supprimer l'assimilation automatique de l'EIRL (soumise au régime réel d'imposition) à l'EURL. Cette assimilation ne pourra résulter désormais, que selon le choix de l'entrepreneur. À défaut d'un tel choix, les EIRL relèveront de plein droit, de l'impôt sur le revenu (IR) et seront imposées comme des entreprises individuelles. La création d'une EIRL par transformation d'une entreprise individuelle sera donc fiscalement neutre à l'instar de la création d'une EIRL (soumise au régime forfaitaire d'imposition).

Il est important de noter aussi que lorsque les biens inscrits au bilan de l'entreprise individuelle ne sont pas affectés au patrimoine de l'EIRL, ils intègrent le patrimoine privé de l'entrepreneur. La constatation d'une plus-value de retrait d'actif est alors imposée selon le régime des plus-values professionnelles.

Pour plus de précision, il est donc possible de consulter l’article de loi suivant : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024413775&fastPos=1&fastReqId=204832599&categorieLien=id&oldAction=rechTexte#JORFARTI000024413873

mardi 7 février 2012

[Cortix News ] : Malgré certains contours à préciser, le régime de l’auto-entreprise enregistrera l’inscription d’un million d’auto-entrepreneurs !

Cortix vous annonce que malgré des chiffres en baisse en 2011 par rapport à 2010, les prévisions de la Fédération des auto-entrepreneurs annoncent, à l’échéance du mois de février 2012, un chiffre record d’un million d’inscriptions de nouveaux auto-entrepreneurs sur les trois dernières années.

Le nombre d’auto-entrepreneurs français devrait incessamment sous peu franchir la barre d’un million, selon la Fédération des auto-entrepreneurs. Malgré un léger ralentissement du nombre d’inscriptions le dernier trimestre 2011,

Ces auto-entrepreneurs ont généré 6 milliards d'euros de chiffre d'affaires pour 600 millions d'euros de recettes fiscales pour l'État

Selon Grégoire Leclercq, président de la Fédération des auto-entrepreneurs (fedae) : « Il y a effectivement eu un vrai engouement pour ce régime, bien monté et bien vendu par le gouvernement. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : on va fêter dans les semaines à venir le millionième auto-entrepreneur. Ensemble, ces auto-entrepreneurs ont généré 6 milliards d'euros de chiffre d'affaires pour 600 millions d'euros de recettes fiscales pour l'État. C'est surtout un formidable moyen de mettre le pied à l'étrier : 61% de ceux qui déclarent du chiffre d'affaires estiment qu'ils n'auraient pas créé d'entreprise si ce statut n'avait pas existé ».

Des inscriptions dont le poids économique n’est donc pas toujours au rendez-vous.

Au-delà du léger fléchissement constaté au niveau du nombre des inscriptions sur le dernier trimestre 2011 et selon l’indice de l’ACOSS, au 30 novembre dernier, on dénombrait 738607 comptes auto-entrepreneurs actifs sur le plan administratif dont seulement 50% affichent une réelle activité économique. Leur poids économique n’est donc pas au rendez-vous.

Au niveau des radiations, nous en avons relevé 36% de plus en 2011 qu’en 2010. Il y a déjà eu 300.000 radiations. Un indice qui n’est pas forcément négatif au vu de certains changements de régime et des dépassements de seuil. Ces radiations concernent des gens qui ont laissé tomber, ou ont été radiés d'office, car ils n'avaient pas fait de chiffres d'affaires pendant deux ans.

Vers une valorisation de ce succès lors du prochain Salon des entrepreneurs

Ce nouveau régime dont l’objectif visait la simplification des démarches pour la création d’entreprise semble avoir été bien apprécié en France particulièrement par les salariés, fonctionnaires et retraités qui cherchent à avoir un complément d’activité. De leur côté, les fédérations d’auto-entrepreneurs comptent sur le Salon des entrepreneurs pour célébrer ce chiffre record symbolique d’un million de nouveaux auto-entrepreneurs et marquer le succès de la démarche, même s’ils comptent relever le plafond des chiffres d’affaires.

jeudi 2 février 2012

[Cortix News] : Concernés par une image positive de leur entreprise, 37% des salariés en parlent sur Facebook

Est-ce que les salariés parlent de leur entreprise sur les réseaux sociaux ? Est-ce que les entreprises ont mis en place des politiques relatives à l'usage de ces réseaux sociaux par leurs collaborateurs ? Ci-après les réponses de Cortix qui vous fait découvrir une étude effectuée par l'Observatoire CEGOS.

En effet, 1200 salariés et 300 responsables de réseaux sociaux en entreprises ont participé à cette enquête de CEGOS qui cherche à évaluer l'effet des médias sociaux sur l'activité professionnelle.

Les salariés utilisent à 61% Facebook, 9 % Viadeo et 6 % LinkedIn.

Les premiers constats de cette étude ont mis en relief la forte présence des salariés sur les réseaux sociaux, particulièrement sur Facebook, surtout les plus jeunes. Un paysage qui nous fait découvrir que 61 % des salariés déclarent détenir et utiliser un compte Facebook tandis que l’utilisation des réseaux sociaux professionnels arrive loin derrière avec 9 % pour Viadeo et 6 % pour LinkedIn.

Options premières : « Exercer une veille professionnelle et véhiculer une image positive de l’entreprise »

Sur le plan professionnel, 59 % des salariés interrogés utilisent les réseaux sociaux pour agrandir le cercle de leurs connaissances, 44 % pour prendre connaissance du marché et des concurrents, 41% pour communiquer avec certains de leurs collègues, alors que 25% d’entre eux surfent sur les réseaux sociaux pour chercher un emploi.

Appréciation première : peuvent mieux faire

Les résultats sont plus mitigés du côté des responsables des réseaux sociaux, même si 30 % d’entre eux affichent des craintes vis-à-vis de l’image de l’entreprise qui serait relative sinon passive.

Dans les faits, les salariés s’expriment assez peu sur leur entreprise. Seuls 9 % d’entre eux déclarent avoir posté des avis sur les produits de leur entreprise, ils sont tout aussi peu nombreux à avoir émis un avis sur leur management. Aujourd’hui, 37 % des salariés se déclarent “fans” de leur entreprise et 18% des interrogés disent véhiculer une image positive en utilisant les réseaux sociaux et estiment apporter néanmoins des bénéfices pour l’entreprise en termes d’images.

jeudi 19 janvier 2012

[Cortix News] Le "Social Business" sera à l’honneur, lors du Sommet « Entreprise 2.0 » version 2012

Le sommet européen « Enterprise 2.0 », sera l'occasion en cette année 2012, pour les entreprises présentes de discuter des processus de transition vers le modèle de « Social business ». Cortix vous rapporte que la conférence, reconnue dorénavant comme un grand rendez-vous annuel depuis 2008, permettra à ces entreprises « d'analyser les défis majeurs et les facteurs clés de succès ». Ces éléments analytiques permettront aux entreprises d'inventer de nouveaux modèles d'organisation afin de renforcer leur évolution en ciblant excellence ».

Le Sommet « Entreprise 2 » aura lieu, les 7 et 8 février 2011, au Cercle National des Armées à Paris. Il réunira entreprises européennes et notamment Françaises particulièrement engagées dans des projets de transition ciblant le « Social Business », une notion qui fait référence actuellement à l'ensemble des technologies et méthodologies propres au numérique.

Voire un partage de connaissances et d'informations, réseaux sociaux d'entreprise et sociaux CRM.

Les sujets qui seront traités lors de ce sommet réuniront une cinquantaine de conférenciers autour de 15 études de cas, 12 discussions d'experts, 5 keynotes et une table ronde interactive. Parmi les thèmes qui seront abordés, nous retrouverons :
- « Project Excellence » : qui suscitera diverses réflexions autour « de l'adoption, la transformation et la gestion d'un projet 2.0 »
- « Practice Excellence » : qui entrainera des réflexions « autour de différents scénarios d'usage, comme la communication interne et la collaboration, le partage de connaissances et d'informations, les réseaux sociaux d'entreprise, l'innovation ouverte et le social CRM ».
- « Organisational Experience » : qui se distinguera par des échanges autour « du modèle d'organisation de l'entreprise de demain ».

mercredi 18 janvier 2012

[Cortix News] la cybercriminalité, une tendance alarmante en 2012 !

Cortix attire votre attention sur les perspectives en hausse de la cybercriminalité en 2012. En effet, les divers indicateurs sont actuellement au rouge et les éditeurs de solutions de sécurité informatique s’activent afin de parer à ces éventuels cyberattaques qui semblent se profiler du côté de l’utilisation grandissante des smatphones.

Tous les professionnels de la sécurité informatique nous mettent en garde contre cette recrudescence en hausse de la cybercriminalité.

Des avertissements qu’il ne faut pas à prendre à la légère par les entreprises. Une étude, publiée le 2 janvier 2012, réalisée par MacAfee http://www.mcafee.com/cf/ parle longuement de ce sujet et nous explique que les smarphones, les réseaux sociaux et GPS risquent sérieusement d’être pris pour cibles. En effet, les appareils mobiles regroupent énormément d’informations personnelles sur leurs propriétaires ce qui fait que les applications mobiles des banques représentent particulièrement la cible idéale des cybercriminels.

Cette tendance s’est déjà vérifiée en 2011 par une hausse de 55% par rapport à २०१०

Le bilan de l’année 2011 pour l’APGW (Anti-Phishing Working Group) http://www.antiphishing.org/reports/apwg_trends_report_h1_2011.pdf a démontré que le nombre de chevaux de Troie (ou Trojans) ciblant les entreprises avait déjà accusé une hausse de 55% par rapport à 2010.