La révolution que semble entreprendre le « Cloud Computing » en entreprise a retenu l’attention de Cortix qui revient pour vous, sur les nombreuses interrogations que se posent les chefs d’entreprises avant d’adopter cette technologie. Le « Cloud Computing » a figuré parmi les plus grandes tendances de l’année 2011. Il symbolise la virtualisation et le stockage des données sur des sites distants tels que les « Data Centers »..
L’étude menée par « Acronis » qui met l’accent sur cette tendance d’adoption de cette nouvelle forme de stockage de données à distance, met en exergue le fait que le « Cloud Computing » joue sur du velours dans les PME plutôt que dans les grandes entreprises.
Les services "inside-out" et "outside-in" suscitent l’amalgame
L'amalgame constaté entre les approches complètement différentes des services de « Cloud Computing » : "inside-out" et "outside-in", associé au tapage marketing, a suscité la prudence quant à la façon d'aborder le « Cloud Computing » et à la mise en œuvre pratique au travers de projets concrets, aussi bien dans le secteur privé que dans le public.
L'approche "inside-out" est généralement adoptée par les responsables informatiques, qui considèrent le Cloud Computing comme une évolution des technologies au sein de l'entreprise. En revanche, l'approche "outside-in" est adoptée par les responsables commerciaux, qui considèrent le Cloud Computing comme une technologie révolutionnaire, offrant à l'entreprise de nouvelles opportunités en terme de prestations de service et d'opportunités commerciales.
L’efficacité, au niveau de la sauvegarde ainsi que la réduction des coûts, semble intéresser les PME
Malgré les résultats de cette étude qui montrent que les entreprises, en général, ont ralenti le processus de virtualisation de leurs données par rapport aux prévisions 2010. Cortix a relevé que les courbes d’évolutions se présentent comme suit :
· En 2011, la virtualisation a été en hausse de l’ordre de 21% chez les PME tandis qu’elle n’était que de 14% dans les grandes entreprises.
· 89% des PME américaines affirment, aujourd’hui, avoir eu recours à cette virtualisation pour au moins une partie de leurs données.
L’amélioration de l’efficacité au niveau de la sauvegarde et la réduction des coûts semble avoir provoqué cette évolution progressive au niveau des PME.